Inutil de recréer un nouveau topic quand on peu sortir les anciens.
Bref, pour continuer dans la lancé de ce topic, parlons un peu de ce qu'il y a autour de la vaste faune de l'animé outre japonais.
Il n'y a pas si longtemps, Diney a sorti son dernier film d'animation sur grand écrant, à savoir tenez vous bien, Bambi 2.
Traitez moi de profan sur ce forum dédié a l'animé Nipon, mais sachez que la diversité enrichi le monde. Plus on a de gens plus les points de vues diffèrent et plus on a d'oppinion sur un sujet doné mieu c'est.
Bref nul n'est mon intention de vous convaincre ou non d'aller voir ce film, mon post n'est présent que pour faire une critique plus vaste et permetre l'élargissement d'un débat et de la vision de l'animé.
Première chose, 64 ans après le premiers oppus, il y avais fort a parier que ce film soit un bide total. Dans le font peut etre à vous de juger. Simplement et il faut quand même le faire remarquer, la différence est néanmoin flagrande au niveau graphique. Vous aurez beau dire, ce film est graphiquement beau. Rien a voir avec les anciène production Disney et encore moin avec Pixar. Rapelons que ce film a entièrement été réalisé a la main ce qui dans l'optique actuel est relativement "Old school" pour nos amis producteurs américain qui ne jurent que par Maya et 3D studio max.
Ainsi donc, sorti d'une séance de Fantastic Children (pour ceux qui connaissent pas) on se prend tout de même une sacré gifle.
Maintenant il est tout a fait vrai qu'il existe un goufre béan entre le style épuré mais pour le moin plaisant de l'animé japonais et le surenrichissement de détail des production Disney/Pixar et occidental en général. A vous de trancher sur la question, mais pour ma part se limiter à un style unique d'animation tient d'une logique ressemblant a une poilitique de l'autruche. Après tout commen peut-on etre fan de japanimation sans etre fan d'animation proprement dite. L'otakuïsme si je puis m'exprimer ainsi n'est qu'une branche de la vaste famille des animé et ce serait se couper des voie que de n'en explorer qu'une seul.